Des listes pour rester zen !
Dans les monastère zen, nous ne sommes pas épargnés par le stress du temps trop court en proportion des tâches à remplir. Lessives, arrosage du jardin, animation de la page Facebook et du compte twitter ( le zen 2.0), rédaction de communiqués de presse, organisation des cérémonies etc… Les listes sont longues comme une soirée d’été, le fun en moins.
Alors que faire pour ne pas être engloutis sous le tsunami des tâches “urgentes-sinon-le-monde-va-s’écrouler-c’est-sûr ». Dans mon petit cerveau de nonne bouddhiste du troisième millénaire, j’ai élaboré une solution toute simple, que je vais vous livrer de ce pas : les listes différentiées. Les listes différentiées ? Avec un stylo ? Il faut écrire ? Et oui ! Ami lecteur : une vie heureuse et épanouie te demandera seulement de saisir un crayon ! ( Ou alors d’ouvrir Text-edit... comme tu veux…).
Donc voilà le processus.
1. Le stress nait dans notre petite boite crânienne quand les neurones reçoivent une information du type “Faudra que j’aille au SuperU on a plus de liquide vaisselle »… Mais ne trouve pas le temps de la traiter “Putain, j’ai pas le temps ; marre… merde ! » Le fait que cette tâche ne soit pas réalisée et reste en quelque sorte suspendue est générateur de stress. Idée + pas d’action = stress.
2. Comment faire ? C’est tout simple. Ecrivez toutes ces tâches à réaliser sur une feuille de papier ( élément matériel blanc sur lequel des signes sont inscrits, très en vogue au précédent millénaire). Une liste donc, interminable : pas de problème.
3. Ensuite, et c’est là que votre petit cerveau s’apaise, classer les tâches en : court terme ( today), moyen terme ( dans la semaine), long terme ( bon, quand vous aurez le temps, c’est pas urgent). Le cerveau a reçu l’information selon laquelle vous êtes passé de IDEE à ACTION.
Il ne vous reste plus qu’à vous mettre au boulot pour les tâches à court terme. Hop ! On y va : bon travail paisible et détendu !